Le sextage est le vocabulaire attribué à la pratique des jeunes, en envoyant des messages ou des textos de dragues ou même de harcèlement à une personne dont on vient d’avoir son numéro. Les filles du collège sont souvent les victimes du sextage.
Le sextage de jeunes va loin
Au départ, ce n’était qu’un envoi de texto avec des mots excitants ou provocants, mais les parents peuvent encore les contrôler. Et la loi n’a pas interdit son usage parce que ce n’est qu’une drague au téléphone. Mais depuis le confinement, les textos sont devenus des partages de photos de sexe. D’autres gens postent même des vidéos intimes à ses amis. Ce qui est honteux est que des fois, ce téléphone traine et les photos et les vidéos sexy deviennent visibles par d’autres personnes, d’où le petit frère, ce qui est déjà une sorte de harcèlement pour ce mineur.
Que dit la loi à propos du sextage ?
La loi a déjà sorti un décret que les jeunes à partir de 18 ans peuvent utiliser le logiciel qui permet l’échange de texto de séduction sur les smartphones et les tablettes et les autres appareils connectés. Suite à un consentement écrit par les deux partenaires à l’échange des photos intimes et des vidéos, le résultat de l’expérience s’avère très catastrophique. En effet, les jeunes ne regardent plus ces photos chez lui à la maison, mais il le fait aussi dans le transport commun. Cet acte est considéré comme une pornographie juvénile qui est interdite par la loi.
Il est possible qu’une fausse manipulation puisse créer des mauvais commentaires et peut même créer un problème mental à la personne qui a reçu par erreur le message. Le jeune peut envoyer la photo à une destinataire très respectueuse comme sa mère ou son professeur. Ce qui peut être une erreur est que votre contact vous a donné un faux numéro et l’acte devient un harcèlement qui mérite une amande.
Comment arranger la situation ?
On peut solliciter l’habilité de la technologie pour détecter cette erreur et d’éliminer toute sorte d’anomalies qui pourra nuire à la société actuelle. Suite au sondage effectué par le site Cybersyvey en 2020, en France seulement, 17 % des jeunes à partir de 18 ans se lancent dans la pratique du sextage. 4 % des gens qui sont entrés par erreur dans cette application et qui l’ont décliné ont plus de 13 ans, le reste des utilisateurs sont des adultes mariés.
Il est vrai que ces jeunes peuvent être perturbés directement au moment où ils tombent sur ce type de harcèlement. Il y en a qui n’arrivent plus à manger normalement durant une semaine ou plus. Si les parents ou les psychologues n’interviennent pas, l’ado peut garder un mauvais souvenir de cette expérience. Le statistique semble être minime, mais l’impact peut être très grave.
En ce moment, les nouvelles gammes de smartphones disposent d’un programme de détection de taux de THC, d’alcool et de virus Covid-19 dans le corps de la personne avec l’application digitale. Le système d’encadrement de ce programme de sextage peut également s’installer vu que les jeunes utilisent du WhatsApp ou de Snapchat pour sexturer.